Le trafic maritime perturbé et le coût des importations qui augmente…

Suite à la pandémie de la COVID-19, le fret maritime a été perturbé, de nombreux problèmes sont apparus et le coût du transport a fortement augmenté.

Comme de nombreux pays dans le monde, la France est de plus en plus dépendante des pays d’Asie pour ses importations. La crise mondiale a engendré une croissance des prix phénoménale concernant le trafic maritime et le transport de containers. Par exemple, en moyenne, le prix d’un transport de containers a quadruplé par rapport à l’année dernière.

Explications sur cet incident qui crée un déséquilibre constant, des gagnants et des perdants.

Ce problème a commencé aux Etats Unis à l’automne 2020, lorsqu’ils ont importé en quantité des produits en provenance de Chine. Suite à ces transports, les containers sont restés sur place avec la fermeture des frontières. Le problème est que le stock de containers est limité et qu’il ne reste plus assez de containers vides en Asie pour être exporté en Europe et dans le monde. Et par conséquent, les prix ont augmenté tout comme les retards.

Les clients sont vite devenus inquiets concernant les délais d’acheminement, certains dépassant les deux mois pour l’importation ou même pour l’exportation.

Alors pour parer à cette difficulté, les entreprises s’adaptent, enchainant journées creuses ou journées pleines tandis que les compagnies maritimes explosent leurs marges, en profitant d’un marché tendu, car dans le monde, il existe moins d’une dizaine de compagnies.

Face à ce problème, la question persiste sur la durée de ces complications et retards qui touchent le monde entier et en particulier l’Afrique dont le volume d’importation/exportation est beaucoup plus faible que l’Asie. Les exportateurs africains doivent revoir leurs routes d’exportation avec le surcoût que cela engendre pour le consommateur final.

TAI YAT se mobilise chaque jour pour suivre les importations et maintenir un stock disponible pour ces clients.

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